Source : Lesnumeriques.com (17 septembre 2019)
La pénurie de robots sur le lieu de travail est mauvaise pour les entreprises … parce que les machines automatisées peuvent améliorer la productivité, a indiqué un député
- Les députés prétendent que la pénurie de robots sur le lieu de travail constitue un ‘réel danger’ pour l’emploi
- Dans son rapport, le comité des affaires publiques, de l’énergie et de la stratégie industrielle de la Chambre des communes a déclaré que la véritable menace à la croissance n’était pas que les entreprises utilisaient trop de robots, mais trop peu
- Les conclusions viennent malgré les avertissements antérieurs de la Banque d’Angleterre : une automatisation pourrait mettre 15 millions de personnes au chômage, soit environ la moitié de la main-d’œuvre
La pénurie de robots sur le lieu de travail constitue un ‘réel danger’ pour les emplois britanniques, affirment les députés aujourd’hui.
La véritable menace à la croissance économique ne réside pas dans le fait que les entreprises utilisent trop de robots, mais dans leur nombre, indique un rapport du comité des Communes chargé des stratégies commerciales, énergétiques et industrielles.
Les conclusions viennent malgré la mise en garde de la Banque d’Angleterre, qui avait précédemment averti que l’automatisation pourrait mettre 15 millions de personnes au chômage, soit environ la moitié de la main-d’œuvre.
La pénurie de robots sur le lieu de travail constitue un ‘réel danger’ pour les emplois britanniques, affirment aujourd’hui des députés (photo d’archives, Mini travaille à Cowley, Oxford)
Le Royaume-Uni ne comptait que dix robots pour chaque million d’heures travaillées en 2015, contre 167 au Japon, 131 aux États-Unis et 133 en Allemagne (photo : Fichier, photo du véhicule Mustang 2005 de Ford Motor Company sur la chaîne de montage, septembre 2004)
Le groupe multipartite de députés a déclaré qu’un investissement dans les technologies de robot contribuerait à améliorer la productivité, en particulier dans le secteur de la fabrication, et à créer des emplois ainsi que de préserver les rôles existants.
Il a averti que le Royaume-Uni est déjà à la traîne par rapport aux grandes économies, telles que le Japon, leur permettant de ‘voler en l’air’ dans la prétendue quatrième révolution industrielle.
Le Royaume-Uni ne comptait que dix robots pour chaque million d’heures travaillées en 2015, contre 167 au Japon, 131 aux États-Unis et 133 en Allemagne.


